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Le projet de loi sur l’économie sociale et solidaire doit faire une place aux associations, défend le GNDA

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Dans une lettre ouverte à Benoît Hamon, ministre de l’Economie sociale, le GNDA (Groupement national des directeurs généraux d’associations) présente ses propositions pour l’élaboration du projet de loi sur l’économie sociale et solidaire (ESS), dont les grandes lignes ont été présentées en juillet dernier (1).L’un des risques pour les associations d’action sociale est que la définition qui sera retenue se borne à donner de la visibilité aux coopératives et aux mutuelles. Le GNDA demande donc qu’une large place soit faite au secteur associatif – le plus important en termes d’emplois. Quant aux instances, qui seront mises en place, elles ne doivent pas être des organes de surveillance et entraver « la capacité créatrice et l’innovation ». Dans cette perspective, le processus de labellisation devrait être conduit par la puissance publique en partenariat avec les pairs. Une labellisation qui doit d’ailleurs être distinguée de l’autorisation et de l’habilitation des établissements, souligne le GNDA.Il juge également important que le secteur soit représenté, au sein des différentes instances, par les groupements et syndicats d’employeurs pour le dialogue social, mais aussi par les fédérations…
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