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« Les représentations de la maladie d’Alzheimer sont aujourd’hui moins misérabilistes »

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Il y a trente ans, on ne parlait pas, ou à peine, de la maladie d’Alzheimer. Aujourd’hui, elle a investi le langage courant. Dans un ouvrage, la sociologue Laëtitia Ngatcha-Ribert analyse le processus qui a permis à cette pathologie incurable de devenir un fait de société.
On parlait autrefois de démence sénile, aujourd’hui de maladie d’Alzheimer. Est-ce la même chose ?La maladie d’Alzheimer a été décrite en 1906. A l’origine, elle était circonscrite à une forme rare de démence présénile touchant des personnes de moins de 60 ans. Elle se distinguait de la démence sénile, vue alors comme la conséquence naturelle du vieillissement. Ce n’est que bien plus tard, dans les années 1970, que, grâce aux progrès de la science, des chercheurs américains ont montré qu’il existait des similarités entre ces deux types d’affection et ont commencé à les rapprocher conceptuellement. Le terme « démence sénile », devenu péjoratif, a ainsi progressivement disparu au profit de la seule appellation « maladie d’Alzheimer », jugée moins stigmatisante.Où en est-on aujourd’hui sur le plan de la connaissance médicale ?L’ouvrage des chercheurs américains Peter Whitehouse…
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