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Regards croisés sur l’assistant(e) familial(e)

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On ne naît évidemment pas assistant(e) familial(e), mais on ne le devient pas non plus toujours de la même manière. Les différences sont notamment affaires de génération et de parcours de vie. Ainsi n’y a-t-il a priori que peu de choses en commun entre cette « Mamie » née en 1914, qui a confié à Pascale Breugnot, formatrice, le « bien-être » que lui ont procuré ses 27 années d’exercice de l’activité de nourrice, et Patrick Cauche, 54 ans, frais émoulu de la formation d’assistant familial. Si ce n’est, justement, que ce dernier aurait pu être l’un des enfants accueillis par la vieille dame, car lui-même a été placé en famille d’accueil entre ses 9 et 18 ans. Cet exemple parmi d’autres de regards croisés sur une profession qui n’a cessé de se transformer depuis une quarantaine d’années constitue le grand attrait de cet ouvrage collectif coordonné par Claire Weil, responsable du pôle enfance de l’ETSUP, organisme de formation parisien. Le renforcement, depuis 2005, de la professionnalisation des assistants familiaux fait partie des notables évolutions du métier, explique la psychologue Coralie Aubert. Néanmoins, cet « élan vital ou ce devoir d’optimisme que doit porter l’assistant familial…
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