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Le CAS plaide pour favoriser la coparentalité en cas de séparation du couple

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« Le divorce ou la séparation agit comme un brusque révélateur des “coûts cachés” supportés par chacun : à l’infériorité économique et professionnelle des mères correspond une certaine vulnérabilité de la relation père-enfant [1]. Cela complique doublement l’exercice de la coparentalité après la désunion », estime le Conseil d’analyse stratégique (CAS). Il est « essentiel, selon lui, de promouvoir de manière volontariste une implication précoce des pères dans les soins aux enfants et de tenter une pacification des conflits ». Pour ce faire, il formule donc un ensemble de préconisations dans une note d’analyse adoptée le 16 octobre (2).Favoriser une « paternité impliquée »Pour le CAS, « la paternité impliquée ne s’invente pas après le divorce ou la séparation, elle se forme dès les premières années de vie de l’enfant ». Il faut donc favoriser une paternité « précoce » et « active ». Pour ce faire, souligne l’instance, « les politiques de soutien à la parentalité et de protection de l’enfance doivent mieux inclure les pères [afin de permettre] une meilleure prise en compte des réalités masculines par les services familiaux, sanitaires et sociaux ». Face au divorce ou à la séparation,…
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