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Pour les plus fragiles, le RSA n’est guère plus qu’un filet de sécurité provisoire, selon la FNARS

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Al’approche de la conférence sur la lutte contre la pauvreté et l’exclusion des 11 et 12 décembre, la FNARS (Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale) enfonce le clou. Pour la troisième année consécutive, elle a mené une enquête sur le RSA (revenu de solidarité active) auprès des travailleurs sociaux de son réseau, dont la particularité est de se concentrer sur les effets du dispositif sur les personnes éloignées de l’emploi. Les résultats, qui rejoignent ceux d’autres études sur le sujet (1), sont peu encourageants : « Entre défaut d’accompagnement et complexité du dispositif », le successeur du RMI « peine à être plus qu’un filet de sécurité provisoire ». Et depuis ses deux dernières enquêtes, la FNARS constate « peu de progrès, bien davantage la persistance des difficultés ».Parmi les 318 travailleurs sociaux ayant répondu (2), 59 % « constatent des difficultés d’accompagnement par le référent unique, surtout lorsqu’il s’agit de Pôle emploi ». Selon eux, les ruptures d’accompagnement s’expliquent dans 35 % des cas par la non-présentation de l’allocataire aux rendez-vous et dans 34 % par la défaillance du référent, soit parce qu’il n’est pas assez…
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