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Malgré un budget en hausse, les doutes subsistent

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Les moyens de la justice, l’une des politiques prioritaires du gouvernement, ont-ils réellement été réévalués à hauteur des besoins ? En attendant les détails que doivent leur livrer leurs administrations respectives, les syndicats réservent un accueil en demi-teinte aux orientations annoncées par la garde des Sceaux le 28 septembre.Dans un cadre budgétaire contraint, « le budget “justice” serait un des seuls à progresser (+ 4,3 % pour un budget global de 7,70 milliards d’euros) », se réjouit la CGT-Pénitentiaire. Les crédits augmentent de 6 % pour l’administration pénitentiaire, où 63 emplois supplémentaires sont annoncés dans les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) pour développer les aménagements de peine, parmi un total de 293 postes (dont 160 redéploiements). Insuffisant, juge le syndicat. Malgré la volonté de la ministre de lutter contre le tout-carcéral et de valoriser l’action des professionnels, « aucun signe significatif de changement à court terme n’est envisagé pour le personnels », déplore-t-il. Même interrogation du Syndicat national de l’ensemble des personnels de l’administration pénitentiaire (Snepap)-FSU, qui aurait espéré un effort plus important…
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