Recevoir la newsletter

Quels moyens pour la nouvelle politique pénale ?

Article réservé aux abonnés

Un changement radical d’orientation, mais qui reste à confirmer dans les budgets pour 2013. Telle est la tonalité générale des réactions syndicales à la circulaire de politique pénale présentée par la garde des Sceaux le 19 septembre (voir ce numéro, page 46), au lendemain du lancement de la conférence de consensus sur la prévention de la récidive (1).Satisfaits de l’intention de Christiane Taubira d’en finir avec le « tout carcéral », les syndicats n’en émettent pas moins des réserves. L’Union syndicale des magistrats, qui rappelle que les organisations professionnelles réclament de longue date un plan d’urgence pour renflouer le budget de la Justice, s’inquiète de la faisabilité des nouvelles directives. La généralisation des bureaux d’aide aux victimes, la volonté de multiplier les aménagements de peine ou de réexaminer les courtes peines entraîneront à ses yeux « un surcroît d’activité que les juridictions et services ne sont pas en mesure d’assumer ». Même crainte de la part du Snepap (Syndicat national de l’ensemble des personnels de l’administration pénitentiaire)-FSU. Le « transfert » d’une partie des personnes incarcérées vers les services pénitentiaires d’insertion et de…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur