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Geneviève Laroque, celle qui voulait « libérer les vieux »

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La « grande dame » qui œuvrait pour sortir la vieillesse de l’indifférence n’est plus. Tous les responsables associatifs et politiques qui l’ont côtoyée se souviennent de son dynamisme et de sa verve.
« Son engagement envers les plus vulnérables, sa haute compétence dans le domaine de l’avance en âge et son attachement aux missions de service public ont contribué à un développement majeur de la gérontologie en France », résume la Fondation nationale de gérontologie (FNG) à l’annonce du décès de Geneviève Laroque, sa présidente. Celle qui fut à l’origine de la circulaire du 26 août 1986 « relative à l’organisation des soins et à l’accompagnement des malades en phase terminale » a disparu le 19 septembre à l’âge de 82 ans dans une unité de soins palliatifs.« Impératrice des poubelles »On parlait souvent à Geneviève Laroque de son illustre cousin Pierre Laroque (1907-1997), fondateur de la FNG et surtout « père » de la sécurité sociale et auteur du « Rapport sur la politique de la vieillesse » en 1962. Cette « grande dame » aura, elle aussi, à sa façon, symbolisé la lutte de ceux qui se battent pour que la vieillesse sorte de l’indifférence. C’est…
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