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Emplois d’avenir : les entreprises d’insertion veulent un « fléchage » dédié

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L’adoption par les députés, le 12 septembre, du projet de loi créant les emplois d’avenir, laisse au Comité national des entreprises d’insertion (CNEI) un goût amer. Certes, comme l’a réclamé le collectif des réseaux de l’insertion par l’activité économique (IAE), les structures de l’IAE sont désormais mentionnées parmi les employeurs pouvant recourir à ces nouveaux contrats pour les jeunes éloignés de l’emploi. Si toutes les propositions d’amendement des associations n’ont pas été retenues, plusieurs dispositions visant un accès effectif à la formation et à l’accompagnement ont été introduites. Pour autant, déplore le CNEI, le texte, qui doit encore être examiné au Sénat à partir du 24 septembre, ne permet pas « l’embauche de jeunes en difficulté par les entreprises d’insertion ». Celles-ci, en effet, relèvent du secteur marchand et ne peuvent donc, en l’état actuel du texte, prétendre au financement des contrats à 75 % du SMIC. D’où la proposition du CNEI d’instaurer un contrat initiative emploi pris en charge à ce taux, ce qui correspondrait « au seuil minimum de financement pour couvrir le coût de l’insertion (accompagnement socioprofessionnel, encadrement, moindre productivité,…
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