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Inquiétudes sur le soutien aux migrants dans les départements

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Une décision temporaire prise par le conseil général de la Loire a ravivé les inquiétudes sur les restrictions des aides aux migrants. S’appuyant sur le droit et sur leur déontologie, les professionnels veulent recentrer le débat sur les pratiques.
En plein été, l’ANAS (Association nationale des assistants de service social) a de nouveau mis le doigt sur un sujet sensible : la mise à mal des principes du travail social face à des injonctions « paradoxales » visant les populations immigrées.Le 22 août, l’association a publiquement réclamé la suppression d’une note du conseil général de la Loire diffusée le 10 juillet aux territoires d’action sociale. Celle-ci précisait qu’« en collaboration étroite avec les services de l’Etat qui agissent dans le cadre du démantèlement d’éventuelles filières d’immigration et de trafic d’enfants », il apparaissait nécessaire de « procéder à des ajustements sur le dispositif des allocations mensuelles versées par le conseil général » aux familles, au titre des prestations d’aide sociale à l’enfance. Elle demandait, de manière provisoire en attendant ces modifications, la suspension de l’instruction des demandes…
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