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Assistants sociaux du ministère de la Justice : un corps en tension

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Quel avenir pour les assistants de service social (ASS) au sein du ministère de la Justice ? Au vu du nombre de postes vacants à l’issue de la commission administrative paritaire (CAP) du 11 juillet, du manque d’effectifs, en l’absence de concours prévu par les administrations et dans la perspective de la gestion interministérielle de ce corps, les syndicats se sont inquiétés de la disparition progressive de ces professionnels.La situation est en effet très tendue. A la protection judiciaire de la jeunesse, les effectifs sont, selon l’administration centrale, de 196 ASS, dont 142 titulaires et 54 contractuels. « Il n’y a pas eu de concours depuis plusieurs années. Des postes sont vacants, faute de candidats dans le cadre de la mobilité et de recrutements », explique Sandrine Debray, élue à la CAP des ASS pour la CGT. D’où des conséquences néfastes en termes de qualité de la prise en charge et de pluridisciplinarité. « Sur les mesures d’investigation, on doit faire autant, en moins de temps. » A la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, on se veut pourtant rassurant. « Nous avions prévu de mettre fin à certains contrats début septembre, explique Yves Rousset, sous-directeur…
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