Jacques Papay : « Un dispositif plébiscité par ses adhérents »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 10.09.2017Par : M. P.Lecture : 4 min.
En 2010, la FNAPsy a cherché à mettre au point un référentiel d’auto-évaluation des GEM. Jacques Papay, consultant qui a travaillé à ce projet (1), tire le bilan de cette expérience dont les résultats ont été boudés par les pouvoirs publics.
Pourquoi ce référentiel d’auto-évaluation ?Il s’agissait pour la FNAPsy de répondre à la circulaire de 2005 sur les groupes d’entraide mutuelle (GEM) qui demande que, chaque année, le groupe procède à une évaluation interne de son activité. L’idée était d’aboutir à un référentiel d’autoévaluation en phase avec les orientations législatives, c’est-à-dire fondée sur la participation des adhérents.Avec une trentaine de GEM portés par les grands réseaux associatifs – Unafam, FNAPsy, FASM Croix-Marine (2) – et de professionnels de la santé mentale, nous avons mis en place deux questionnaires. L’un, classique, visait à renseigner sur les critères de fonctionnement définis dans la réglementation, tels que les charges salariales, les modalités de gestion, etc. Ses résultats étaient transmis à l’agence régionale de santé. L’autre, beaucoup plus ouvert, se centrait sur le recueil…
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