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François Hollande ouvre des pistes de travail pour améliorer les conditions de la fin de vie

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Le 17 juillet, à l’occasion d’une visite de l’unité de soins palliatifs Notre-Dame-du-Lac à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) en compagnie de la ministre de la Santé et de sa ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l’autonomie, le président de la République a indiqué qu’il entendait améliorer les conditions de la fin de vie. « Les soins palliatifs sont un progrès, […] une évolution non seulement nécessaire mais souhaitable vers une amélioration du soin », a-t-il ainsi déclaré.Si le nombre d’unités de soins palliatifs a beaucoup progressé (près de 5 000 lits), il est « encore très insuffisant », a estimé François Hollande, rejoignant sur ce point l’Observatoire de la fin de vie (1). Aussi le chef de l’Etat a-t-il pris l’engagement de développer la diversité de l’offre de soins palliatifs. Pour lui, investir sur la fin de vie, c’est éviter des hospitalisations ou des interventions inutiles et coûteuses tout en améliorant le confort et le soins des personnes. Il va donc commander une « évaluation financière qui mette en avant, à côté des charges supplémentaires, les économies qui peuvent être induites ». Conscient aussi du coût de la prise en charge, le président de la République…
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