Publié le : Dernière Mise à jour : 17.09.2017Lecture : 2 min.
Il y a dix ans, la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale bouleversait le cadre de fonctionnement des établissements et services. En première ligne, les directeurs ont été contraints de s’adapter à la nouvelle donne. Droits des usagers, évaluations internes et externes, outils de pilotage… Autant de dispositions qu’il leur a fallu mettre en musique, parfois non sans mal. Quel bilan dressent-ils aujourd’hui de la mise en œuvre de cette loi et comment évaluent-ils ses effets sur leur travail ? Une enquête des ASH.
La loi du 2 janvier 2002 « aura des conséquences importantes pour plus de un million de personnes accueillies dans les 25000 établissements et services sociaux et médico-sociaux de notre pays », prédisait, il y a dix ans, le sénateur Paul Blanc (UMP), l’un de ses rapporteurs. Des conséquences, cette loi dite « 2002-2 » allait en avoir aussi sur le quotidien des travailleurs sociaux, des soignants et de leurs équipes dirigeantes. Remplaçant, après de longues années de gestation, la vieille loi du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales, la loi de 2002 a en effet considérablement modifié…
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