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Les accidentés de la vie sont frappés par une « triple peine », estime la FNATH

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Après un accident de la vie, moins d’une personne sur deux a repris son emploi dans la même entreprise, indique la FNATH (L’association des accidentés de la vie) à la suite de l’enquête qu’elle a menée auprès de ses adhérents (1). 2 269 personnes qui ont connu un accident de santé grave (lié ou non à leur activité professionnelle) ont répondu, en majorité des hommes âgés de 45 à 54 ans. Quand elle a eu lieu, la reprise du travail s’est le plus souvent opérée sur un poste aménagé ou sur un autre poste dans l’entreprise et s’est traduite, pour le quart des personnes interrogées, par une diminution des horaires de travail et donc de leurs ressources, pointent les auteurs. Le retour à l’emploi est parfois de courte durée : une personne sur cinq déclare avoir perdu ensuite son emploi, du fait d’une rechute ou de l’aggravation de son état de santé. Parmi ceux qui n’ont pas réintégré leur entreprise initiale, 62 % n’ont pas retrouvé de travail et les autres (38 %) n’ont accédé à un emploi qu’au bout de un an, voire trois ans.Certains facteurs favorisent le risque de ne pas retrouver son emploi : être ouvrier plutôt que cadre, avoir un contrat précaire (CDD ou intérim), un arrêt de travail…
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