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« Les récits horrifiques ne poussent pas les jeunes à la transgression »

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« Carrie », « Les griffes de la nuit », « Twilight », « Scream »… Les adolescents sont friands de ces récits d’horreur. Souvent au grand dam des adultes, qui s’inquiètent de leur influence sur le psychisme des jeunes. Mais c’est l’adolescence en soi qui est terrifiante, rappelle Marion Hendrickx, psychiatre, dans un ouvrage à la fois documenté et teinté d’humour. Partant de sa pratique professionnelle, elle explique en quoi l’horreur fantastique aide les jeunes à aller du côté de la vie.
Depuis Bruno Bettelheim, les contes de fées ont trouvé leur place dans la psychopathologie des enfants. Mais avec l’horreur fantastique, n’est-on pas très loin du Petit Chaperon rouge ?Il y a au contraire beaucoup de points communs entre les contes de fées et les récits d’horreur fantastique. En particulier leurs racines dans une tradition orale ancienne. La différence est que le conte de fées est un monde très cohérent avec un aspect fantastique mais pas inquiétant, alors que, dans l’horreur fantastique, il y a une dimension angoissante. Le conte de fées a une structure rassurante, avec un début et une fin heureuses et des formules consacrées comme : « Ils…
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