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L’ÉTHIQUE DE L’IMPLICATION. « Je crois que j’ai toujours éprouvé le besoin d’écrire mon métier », confie Xavier Bouchereau. Ses tribunes régulièrement confiées aux ASH peuvent en témoigner. Aujourd’hui, l’éducateur spécialisé s’essaie à un autre format. Ayant quitté le terrain pour une fonction de direction, Xavier Bouchereau livre le fruit de ses réflexions sur dix années d’exercice au plus près des usagers. Dix années de questionnements sur les enjeux du travail social et les logiques implicites qui président à sa mise en pratique, dix années d’interrogations, aussi, sur les ressorts du choix d’une telle profession. Hasard ou vocation Pour ce qui le concerne, l’auteur carbure à l’indignation. « Un mélange de colère devant l’insupportable et de volonté d’y faire un tant soit peu quelque chose. » Ce qui conduit l’intéressé à développer une éthique de l’implication. La neutralité du travailleur social, de toute façon, il n’y croit pas. Ou plutôt, si : comme à un voile recouvrant l’absence de conscience politique. La « bonne distance éducative »? Elle non plus n’existe pas. « C’est un miroir aux alouettes, un mot vide de sens », car la distance n’est ni bonne ni mauvaise, elle se contente…
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