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« Face aux cas de dérives sectaires, il faut s’appuyer sur le droit commun »

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Dans un récent guide sur la santé et les dérives sectaires, la Miviludes alertait sur les risques de manipulation mentale dans le cadre de thérapies non conventionnelles. Le champ de la protection de l’enfance est-il, lui aussi, concerné par le phénomène ? Et comment les professionnels peuvent-ils l’aborder sans faire preuve d’intolérance ou d’aveuglement ? Les éclairages d’un spécialiste, Jean-Yves Radigois, docteur en sciences de l’éducation et ancien directeur de CCAS.
Les cas de dérives sectaires sont-ils nombreux dans le champ éducatif ?C’est extrêmement difficile à évaluer, dans la mesure où, à juste titre, l’appartenance à un mouvement, à une philosophie ou à une religion ne relève pas des statistiques officielles. Si bien que l’on est dans l’impossibilité d’avoir des éléments précis. On ne peut donc faire que des suppositions. Le chiffre le plus souvent avancé est entre 60 000 et 80 000 enfants vivant en France dans des familles appartenant à un mouvement de type sectaire. Rapporté à l’ensemble de la population, ce chiffre est assez faible. Ce qui explique que les situations d’enfants en danger ou en risque de danger en raison de l’appartenance…
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