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En privation d’empathie

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Confronté à la violence croissante d’enfants parfois très jeunes, et face au désarroi des professionnels, le pédopsychiatre Maurice Berger livre ses observations et ses analyses.
Après plus de trente années de recherche théorique et clinique sur la genèse de la violence des enfants et les modalités de prise en charge pouvant leur être proposées, le pédopsychiatre Maurice Berger verse une nouvelle fois ses connaissances au débat. Comment faire en sorte que les sujets violents commencent à penser au lieu de frapper ? Cette question conduit au « problème majeur et quasi insoluble auquel ces enfants et adolescents nous confrontent », souligne l’auteur : l’absence de sentiment de honte et de culpabilité face aux actes destructeurs qu’ils commettent. Aussi n’y a-t-il aucune raison pour qu’ils ne les répètent pas. Ce qui a manqué à ces enfants, c’est l’expérience d’une relation empathique et stable, lors de leurs deux premières années de vie, avec un adulte capable de s’intéresser à eux et de les comprendre, explique Maurice Berger. Et de pointer les ravages des négligences parentales, dont on sous-estime très largement l’impact sur la constitution…
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