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Réforme des tutelles : un bilan en demi-teinte

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En rattachant les services mandataires au secteur social et médico-social et en renforçant les droits des personnes, la réforme de la protection juridique des majeurs bouscule les pratiques des professionnels. Partagés entre satisfaction et surcharge de travail, ces derniers cherchent leurs marques.
« On attendait cette loi depuis dix ans et, même si elle a été votée en urgence, elle correspond à ce qu’on pouvait espérer », observe Sébastien Breton, responsable de la protection juridique à l’Unapei (Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis). « Ses principes sont très positifs », note, pour sa part, Laurence Rambour, conseillère technique à la CNAPE (Convention nationale des associations de protection de l’enfant). En tête des motifs de satisfaction de la loi du 5 mars 2007 relative à la protection juridique des majeurs, entrée en vigueur en janvier 2009 (1) : l’accent mis sur la protection de la personne, alors que l’approche qui prévalait jusque-là visait surtout la gestion du patrimoine. Au nom du respect des droits de la personne, il s’agit désormais de protéger sans humilier ni diminuer,…
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