Recevoir la newsletter

RSA : un rapport du Centre d’études de l’emploi montre à qui « profite » le nouveau dispositif

Article réservé aux abonnés

Mis en place depuis le 1er juin 2009 afin « d’encourager l’exercice ou le retour à une activité professionnelle », le revenu de solidarité active (RSA) remplit-il sa mission ? C’est la question à laquelle tente de répondre un récent rapport du Centre d’études de l’emploi consacré aux effets du RSA sur les taux de retour en emploi de ses bénéficiaires (1). Une approche comparative qui croise une série de données recueillies avant et après la mise en œuvre du dispositif.Un impact financier très variableLe Centre d’études de l’emploi s’intéresse, dans un premier temps, au gains financiers qu’en retirent les allocataires. Premier constat : à court terme, la mise en place du RSA a eu un impact globalement négatif sur les gains financiers associés à la reprise d’un emploi par rapport aux anciens dispositifs. La perception du RSA activité ne permet pas de compenser « la perte de l’intéressement et de la prime pour l’emploi et, pour certaines configurations, la perte de la prime de Noël et de la prime de retour à l’emploi ». Le gain financier à la reprise d’emploi est donc systématiquement inférieur avec le RSA au gain qui aurait été perçu avec le revenu minimum d’insertion (RMI) et l’allocation…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Dans les textes

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur