Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Par : CAROLINE HELFTERLecture : 1 min.
Développer le « pouvoir d’agir » de l’usager offre au travailleur social des marges de manœuvre insoupçonnées, montre cet ouvrage.
Dépasser l’accablement de la double impuissance, celle des usagers mais aussi des professionnels, et élargir le champ des possibles : tel est le principe de la démarche d’intervention dite du « développement du pouvoir d’agir » des personnes et des groupes (DPA). Détaillée et illustrée par plusieurs travailleurs sociaux réunis autour de Bernard Vallerie, formateur et chercheur, cette approche est une alternative à la dichotomie qui tend à imputer les difficultés des usagers soit à leurs propres défaillances, soit au contexte social. Pour tenter d’améliorer les situations, il s’agit d’agir sur les deux tableaux : travailler sur les capacités des personnes (compétences, confiance en soi, désir d’agir) et sur les opportunités présentées par leur environnement (dispositifs, aides, entourage, etc.). Prenant l’exemple de l’accompagnement d’une bénéficiaire du RSA, Martine Bueno-Cazejust, assistante de service social, montre le changement de posture induite par cette méthodologie d’intervention. Plutôt que de chercher…
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