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« Depuis 2002, les problèmes d’accès aux soins se sont accrus »

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Dix ans après son vote, la loi du 4 mars 2002 sur les droits des malades et la qualité du système de santé est entrée dans les mœurs. Mais en dépit des avancées qu’elle a permises, notamment en matière d’information des patients, il faut la revoir, estime l’un de ses pères, Didier Tabuteau, aujourd’hui titulaire de la Chaire santé à Sciences-Po.
Quel bilan dressez-vous de la mise en œuvre de la loi du 4 mars 2002 ?Ce texte a constitué une étape décisive. Ses principes ne sont plus remis en cause, alors qu’ils avaient été fortement débattus. Il n’est pas si fréquent qu’une loi puisse être regardée, dix ans après sa promulgation, comme un droit normal et légitime. Toutefois, en transformant le droit applicable, la loi de 2002 a fait apparaître des insuffisances et des inégalités importantes. C’est la raison pour laquelle il faut aujourd’hui la remettre sur le métier.Quelle était alors la motivation pour mettre ce texte en chantier ?Il s’agissait de l’aboutissement d’une longue évolution de la société, marquée par la montée en puissance des associations de malades et d’usagers du système de santé à travers des actions déterminantes et emblématiques…
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