« L’organisation d’une représentation cohérente et transversale du secteur n’a pas beaucoup avancé »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 27.07.2017Par : M. LB.Lecture : 2 min.
Le 30 mars, Hubert Allier, directeur général de l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux), passe le témoin à son successeur, Nicolas Clément. Le point sur ses dix années d’exercice consacrées à renforcer l’unité du secteur.
Quel est votre regard sur ces dix ans ?Il est tout d’abord difficile, du fait d’une période très mouvementée, de dresser un bilan sur l’évolution subie ou voulue du secteur : je suis arrivé avec la loi 2002-2, je repars avec les suites de la loi « hôpital, patients, santé et territoires », une réforme de l’Etat et une réforme des collectivités inachevées, auxquelles s’ajoute un contexte de crise ! J’ai essayé dans cet environnement de créer les conditions pour que le secteur non lucratif de solidarité soit plus uni, plus visible, plus fort. Au sein de l’Uniopss, qui fédère 101 adhérents nationaux et 23 Uriopss, cette unité nécessite une construction patiente, notamment parce qu’elle implique d’avoir une présence sur les territoires. Mais les fondements sont là : nous partageons des missions et un projet communs. En revanche, l’organisation d’une représentation…
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