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Ville et banlieue veut développer la pratique sportive, « outil d’intégration »

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L’association Ville et banlieue, convaincue que le sport peut être un moteur pour la banlieue et qu’il constitue « un outil d’intégration et de lien social dans les quartiers », regrette qu’il soit « un thème oublié de la campagne présidentielle ». Pour y remédier, elle organisait, les 22 et 23 mars, en partenariat avec l’APELS (Agence pour l’éducation par le sport) et la ville d’Allonnes (Sarthe), une rencontre sur le thème « Le sport en banlieue : une énergie positive ? ». « Il faut savoir qu’il y a trois fois moins de licenciés dans les banlieues, les quartiers populaires que dans le reste du pays », regrette Gilles Leproust, maire (PC) d’Allonnes, pour qui « l’Etat se désinvestit des attentes des populations vulnérables pour se consacrer au sport d’excellence et aux grands événements sportifs ». Une enquête menée auprès des élus membres de l’association montre que le budget du sport avoisine, en moyenne, 7 % du budget annuel d’une commune, en investissement comme en fonctionnement. Qu’ils aient mis en place un office municipal des sports ou pas, les maires visent à travers leur politique sportive à « donner l’accès de tous à des pratiques de qualité », mais aussi à « l’intégration…
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