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Banalisation des fichiers : la vigilance s’impose

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Le recours grandissant à l’informatisation des données personnelles des usagers relance les débats sur la déontologie et la mutation du travail social. En jeu : le respect des libertés individuelles et de la confidentialité, et le risque d’un glissement vers un contrôle accru des usagers comme des professionnels.
Veiller aux conditions de partage de l’information, refuser l’automatisation de l’accompagnement, la catégorisation des personnes, le pilotage par la gestion… Les recommandations du Conseil supérieur du travail social (CSTS) dans son rapport de 2001 appelant à « l’émergence d’une culture critique et constructive » face à l’informatisation des données personnelles n’ont pas pris une ride. Une décennie plus tard, le conseil a dû reprendre la plume pour appeler à la vigilance (1). Et pour cause : la multiplication des dispositifs, le souci d’améliorer les prises en charge, l’observation sociale, mais aussi la performance et le contrôle des procédures ont favorisé le foisonnement des fichiers dans le secteur. Qu’il s’agisse des services sociaux des départements, de la protection de l’enfance, d’hébergement, de logement social, de prestations…
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