Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 6 min.
Pour que l’évaluation externe ne se réduise pas à un exercice de mise en conformité et constitue une réelle opportunité de progrès pour les établissements comme pour les usagers, la question de la formation des évaluateurs est cruciale, soutiennent François Charleux, directeur de RH Organisation, organisme de formation et de conseil, et François Noble, directeur de l’Andesi (Association nationale des cadres du social).
« La récente circulaire de la direction générale de la cohésion sociale (DGCS) (1) vient nous rappeler, s’il en était besoin, les échéances de l’évaluation et les modalités de sa mise en œuvre. Ces dispositions ont été fixées pour l’essentiel par le décret n° 2007-975 du 15 mai 2007 (2). Ce texte est à la fois complexe et ambitieux. Complexe, parce que les références théoriques y sont multiples et imbriquées : management de la qualité, méthodologie d’évaluation des politiques publiques, démarche de prévention des risques, etc. Ambitieux, dans la mesure où ces références conduisent à une évaluation “des activités et de la qualité des prestations” à la fois normative et formative, donnant ainsi un caractère inédit à l’évaluation…
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