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Les professionnels décidés à faire respecter le droit inconditionnel à l’hébergement

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C’est l’un des gros points noirs des politiques de prévention du mal-logement et du sans-abrisme. Malgré « un nombre record » de manifestations, selon le DAL, pour s’y opposer, les expulsions locatives peuvent reprendre avec la fin de la trêve hivernale, depuis le 15 mars. Ce, alors que le nombre de ménages en situation d’impayé (480 000 en 2006, d’après la dernière enquête INSEE) « n’a pu que croître de manière importante » sous l’effet de la crise, prévient la Fondation Abbé-Pierre. De fait, le nombre de personnes entrées en contact avec l’association et qui « mettent en avant une dégradation de leur situation d’emploi comme cause de leur impayé est passé de 44 % à 54 % en un an ».La fin du mois de mars est aussi celle du plan hivernal, qui a permis comme chaque année d’ouvrir des places d’hébergement d’urgence supplémentaires, progressivement fermées dès les premières hausses de température. Alors que le dispositif est saturé et que le nombre de personnes sans domicile fixe a augmenté de 75 % entre 2001 et 2010, cette gestion saisonnière « verra dans quelques semaines des milliers de personnes remises à la rue, malgré les engagements réitérés des pouvoirs publics et les objectifs…
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