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« La raison première du chômage reste le manque de travail »

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Soumettre à référendum une réforme visant à durcir les conditions d’indemnisation du chômage, telle est l’une des propositions avancées par Nicolas Sarkozy dans le cadre de la campagne présidentielle. Reste que le durcissement de ces règles, mais aussi de celles de l’attribution des minima sociaux, ne date pas d’aujourd’hui. Et pas seulement en France. L’analyse de l’économiste Christine Erhel, spécialiste des politiques de l’emploi.
Observez-vous une montée en puissance des obligations faites aux chômeurs et, au-delà, aux allocataires de prestations sociales ?La plupart des pays affichent en effet actuellement une plus grande fermeté à l’égard des chômeurs, notamment en raison des difficultés financières liées à la crise. Toutefois, sur le terrain, on s’aperçoit qu’il est difficile de mettre en œuvre des sanctions. D’abord parce qu’il est très coûteux de développer une capacité de contrôle suffisante. Ensuite parce que les cas de fraude avérés sont finalement très rares. Très peu de chômeurs ne souhaitent pas retrouver un travail. Plus globalement, la tendance à l’activation des politiques de l’emploi et, de manière plus générale, des politiques…
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