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L’UNALG veut une redéfinition de la place du secteur associatif

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Mobiliser sur le sens des politiques publiques, « préoccupées, ces dernières années, par la seule efficience budgétaire au détriment de la qualité de l’accompagnement », et redéfinir les partenariats, « laissant à l’Etat la plénitude de la protection sociale et garantissant au monde associatif les moyens de sa mission d’intérêt général et d’utilité sociale ». Tels sont les objectifs de l’UNALG (Union nationale des associations laïques gestionnaires) (1), qui organise le 14 mars une « convention nationale » pour en débattre et interroger les candidats à l’élection présidentielle. Dans son « livret de propositions », elle préconise de redéfinir les rapports entre les pouvoirs publics et les acteurs de l’économie sociale en relançant la « charte des engagements réciproques » signée entre l’Etat et la Conférence permanente des coordinations associatives en 2001. Un texte qui pourrait être complété par « un projet d’engagement sociétal et éthique » unissant tous les acteurs, portant notamment sur le respect de « coûts à la place cohérents avec une prise en charge de qualité ». L’UNALG demande également une révision des principes de financement des structures médico-sociales et sociales…
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