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Dépendance : en l’absence de réforme, le gouvernement entend malgré tout occuper le terrain

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« Je ne ferai cette réforme [de la dépendance] que quand j’aurai les moyens de la financer de façon crédible. » C’est ce qu’a martelé le président de la République à l’occasion du quatrième anniversaire du « plan Alzheimer » le 1er février. Aussi, dans l’attente d’une réforme d’envergure, son gouvernement s’attache-t-il tout de même à proposer des mesures moins coûteuses axées sur la prévention.Lors d’un colloque intitulé « Prévention et vieillissement » organisé le 3 février par la Fondation nationale de gérontologie, la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale a ainsi annoncé qu’elle allait installer un comité national de coordination de la politique de prévention de la perte d’autonomie. Une décision prise sur la base de propositions qui lui ont été remises par les gériatres Jean-Pierre Aquino, qui hérite de la présidence de l’instance, et Geneviève Ruault. « Aujourd’hui, les actions de prévention [de la perte d’autonomie] sont majoritairement mises en œuvre au niveau local. En toute logique, c’est donc à ce même niveau que devraient avoir lieu l’évolution des pratiques professionnelles et la diffusion d’une véritable culture de la prévention », a expliqué Roselyne Bachelot.…
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