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Le VIH, une « trappe » à chômage, selon AIDES

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Chômage, « sérophobie », inadaptation des horaires et du poste de travail… L’association AIDES rend publique son enquête « VIH, hépatites et vous » sur la situation professionnelle des personnes séropositives (1). « Comme pour beaucoup de maladies chroniques, être séropositif ne permet pas un même accès ou maintien dans l’emploi que pour le reste de la population », démontre l’association. Moins de la moitié (46 %) des personnes vivant avec le VIH exercent une activité professionnelle (2). Un tiers de celles qui sont inactives ont travaillé par le passé mais ont dû arrêter pour différentes raisons : départ à la retraite, licenciement… 18 % d’entre elles sont à la recherche d’un emploi et 13 % sont dans l’incapacité de travailler.39,5 % des personnes infectées vivent avec moins de 950 € par mois – un taux qui passe à 53 % pour les publics co-infectés (VIH/virus de l’hépatite C). Une personne sur sept bénéficie d’une pension d’invalidité et 3 % perçoivent le RSA. « Ce dernier chiffre met en évidence d’une part les difficultés d’accès à l’allocation aux adultes handicapés et d’autre part l’augmentation de la capacité de travail des personnes vivant avec le VIH, du fait notamment des progrès…
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