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RSA : le contrat de sept heures expérimenté, mais toujours critiqué

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Au moment où le contrat de sept heures destiné aux allocataires du RSA (revenu de solidarité active) éloignés de l’emploi est expérimenté dans une douzaine de conseils généraux, associations et syndicats continuent d’alerter sur les risques du dispositif. Après les déclarations explosives de Laurent Wauquiez sur le « cancer de l’assistanat » (1), cette idée, proposée dans le rapport du député UMP Marc-Philippe Daubresse, n’a pas éteint la polémique sur le thème du « travail obligatoire » imposé aux bénéficiaires de minima sociaux.Dans le dispositif en place dans les départements volontaires (tous gouvernés par des élus de la majorité) depuis décembre dernier, les allocataires « rencontrant des difficultés spécifiques pour accéder à un emploi de droit commun » peuvent se voir proposer dans le secteur non marchand un contrat unique d’insertion de 7 heures rémunéré au SMIC, pour une durée de six mois renouvelable une fois. Le gain net pour une personne seule est estimé à environ 130 € par mois.Si, sur le fond, l’assouplissement de la durée du contrat unique d’insertion (20 heures minimum) n’est pas remis en cause, les inquiétudes portent sur le type de public visé par ce dispositif et…
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