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La nouvelle présidence danoise de l’Union européenne hérite d’un agenda social marqué par la crise

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Le Danemark, qui prendra la tête du Conseil de l’Union européenne (UE) à compter du 1er janvier pour six mois, va hériter d’un agenda social chargé en raison, bien sûr, de la crise économique, mais aussi du vieillissement démographique ou encore de la kyrielle de dossiers législatifs sur la table. Pour le gouvernement social-démocrate élu depuis le 15 septembre dernier, le défi sera de préserver les modestes politiques sociales existant à l’échelon communautaire. Sont en jeu, notamment : le futur cadre financier de l’UE pour la période 2014-2020, y compris les propositions en faveur d’un Fonds social européen « plus social » et d’un nouveau programme « pour le changement social et l’innovation » ; l’adoption du « paquet asile » et la réforme controversée de la gouvernance de l’espace Schengen, qui vise à donner davantage de pouvoir de décision à la Commission européenne en ce qui concerne la réintroduction temporaire du contrôle aux frontières ; la directive sur le congé de maternité et celle contre les discriminations qui entend mettre en œuvre le principe d’égalité de traitement entre les personnes sans distinction de religion ou de conviction, de handicap, d’âge ou d’orientation…
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