Recevoir la newsletter

Le suivi renforcé des jeunes diplômés par des opérateurs privés a peu d’impact sur leur retour à l’emploi, selon la DARES

Article réservé aux abonnés

En 2007, dans un contexte de réflexion et de débats sur l’insertion des jeunes diplômés, le gouvernement avait confié à des opérateurs privés de placement (OPP), présents dans dix régions, l’accompagnement de 10 000 jeunes âgés de moins de 30 ans, ayant validé un diplôme de niveau bac + 2 minimum et « faisant l’expérience d’une situation persistante de chômage ». La direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) présente, dans une étude, les résultats obtenus par cette expérimentation(1).Le dispositif s’adressait aux jeunes inscrits, à l’époque, sur les listes de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) depuis au moins six mois ou qui l’avaient été pendant 12 mois au cours des 18 derniers mois. Les jeunes exerçant une activité réduite y étaient éligibles. Le dispositif comportait deux phases : pendant les six premiers mois, le jeune bénéficiait d’un accompagnement renforcé vers l’emploi (atelier, simulations d’entretien, suivi régulier…) puis, si un contrat de travail était conclu, il était suivi pendant six mois par l’OPP afin de désamorcer d’éventuels conflits de travail.Selon les résultats publiés par la DARES, au bout de huit mois « le programme…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Dans les textes

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur