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Le CSTS doit-il s’ouvrir aux associations professionnelles ?

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La dissolution au 31 décembre 2011 de l’Aforts et du GNI (1) dans le cadre de la constitution de la nouvelle Unaforis (Union nationale des associations de formation et de recherche en intervention sociale) pourrait-elle être l’occasion pour l’ANAS (Association nationale des assistants de service social) et l’ONES (Or­ganisation nationale des éducateurs spé­cialisés) d’entrer au Conseil supérieur du travail social (CSTS) ? Toutes deux avaient déploré, lors de la nouvelle composition de cette instance, que les associations professionnelles n’y soient toujours pas représentées, même si le vice-président de l’ANAS et le président de l’ONES y siègent en tant que personnes qualifiées (et ne représentent donc qu’eux-mêmes) (2). Une « exclusion » d’autant plus mal vécue que le resserrement du CSTS (50 membres contre 68) a conduit à renforcer le poids des institutions au détriment de celui de l’ensemble des acteurs du secteur (3).L’ANAS a donc écrit à Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, pour lui demander que l’un des deux sièges qui vont être libérés par les associations dissoutes lui soit attribué, et l’ONES devrait lui emboîter le pas. « Le CSTS a besoin…
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