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La population des ZUS demeure moins diplômée, moins active et plus pauvre qu’ailleurs

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Le ministre de la Ville, Maurice Leroy, a reçu, le 2 novembre, le rapport 2011 de l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS) des mains de la présidente du conseil d’orientation de l’instance, Bernadette Malgorn (1). Comme chaque année, ce document mesure l’évolution des quartiers qui bénéficient des dispositifs de la politique de la ville et propose une photographie de l’évolution des inégalités sociales et des écarts de développement territoriaux en France en matière d’emploi, d’éducation ou bien encore de logement.La tendance reste la même que les années précédentes. Majoritairement issus de l’immigration, les habitants des ZUS demeurent moins diplômés et moins actifs qu’ailleurs. Ils sont également plus pauvres que les autres (2).Un sombre constat qui n’empêche pas Maurice Leroy de tenir un discours optimiste dans un communiqué diffusé le même jour. Pour le ministre, le rapport de l’ONZUS montre avant tout que, dans un contexte international, européen et national durement frappé par la crise économique et malgré les difficultés persistantes constatées, ces territoires sensibles « résistent, notamment parce que l’Etat y concentre de nombreux moyens d’intervention ».De…
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