Publié le : Dernière Mise à jour : 29.08.2017Lecture : 2 min.
La perspective de la généralisation d’un questionnaire formaté devant être utilisé, pour l’évaluation externe, par les organismes habilités inquiète Thierry Nouvel, directeur général de l’Unapei (Union nationale des associations de parents de personnes handicapées mentales et de leurs amis) (1). Principal risque à ses yeux : une approche réductrice de l’évaluation, qui peut, de plus, contaminer les pratiques d’évaluation interne.
« Stupeur et murmures dans l’évaluation : l’échéance de 2015 se rapproche à grand pas. C’est à cette date que la plupart des établissements et services sociaux et médico-sociaux devront produire le rapport de l’évaluation externe.Stupeur pour l’ensemble des acteurs, au premier rang desquels figurent les autorités de contrôle qui s’apprêtent à recevoir les 30 000 rapports sur la base desquels elles devront se prononcer pour renouveler les autorisations. Leur réaction a été immédiate : disposer d’un outil permettant d’analyser rapidement ces documents dont elles pressentent qu’ils auront des formes et des contenus disparates. L’Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements…
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