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Pour une meilleure prise en compte des orphelins dans les politiques publiques

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Répercussions sur les relations familiales, sentimentales, amicales, la vie scolaire et même la santé : être orphelin de père ou/et de mère avant l’âge de 25 ans entraîne des difficultés multiples, souvent mésestimées. Pour connaître le ressenti des personnes ayant perdu un parent, l’Union nationale des associations familiales (UNAF) et la Fédération des associations de conjoints survivants (FAVEC), soutenue par la Fondation d’entreprise OCIRP, ont interrogé 1 022 orphelins (1). L’objectif était de déterminer les dispositifs pouvant être mis en place pour les accompagner. Mais l’enquête a d’abord mis en évidence les lacunes statistiques : la dernière étude date de 1947 ! Le recensement de l’INSEE de 1999 estimait à 500 000 les orphelins de moins de 21 ans, mais ce chiffrage ne prenait en compte ni ceux dont le parent survivant était remis en couple ni ceux de moins de 18 ans ayant perdu leurs deux parents (2). Dès lors, les orphelins sont « souvent ignorés, oubliés des politiques publiques ». « De fait, ils ne sont pas constitués en groupe, ils n’ont donc pas de poids », commente Magali Molinié, psychologue clinicienne, interrogée par l’OCIRP (3).L’enquête UNAF/FAVEC a dénombré trois…
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