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A la PJJ et dans la pénitentiaire, les syndicats dénoncent un budget en berne

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« Une provocation », selon la CGT-pénitentiaire, « une coquille vide » pour les politiques de prévention de la récidive, aux yeux du Snepap (Syndicat national de l’ensemble des personnels de l’administration pénitentiaire)-FSU. Quelques mois après l’« affaire de Pornic » qui a mis au jour la surcharge de travail des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP), les syndicats s’élèvent contre la faiblesse des moyens prévus dans le projet de budget 2012. « Il y aurait 47 recrutements de conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation, une douzaine pour les personnels de service social et 65 pour les directeurs », détaille Sylvain Roussilloux, secrétaire général adjoint du Snepap-FSU.Alors que l’étude d’impact de la loi pénitentiaire du 24 novembre 2009 estimait les besoins à 1 000 conseillers d’insertion et de probation supplémentaires (moins de 50 postes ont été ouverts en 2011), ces chiffres paraissent très insuffisants, tant en détention qu’en milieu ouvert. « D’autant que, n’ayant pas de visibilité sur les départs, nous ignorons pour l’instant quelle sera la création nette d’emplois », ajoute Sylvain Roussilloux. La perspective de voir traités les moyens des…
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