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« Etre banlieusard ne signifie rien en soi »

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La question de l’intégration des banlieues en difficulté au sein de la République devrait être au cœur de la campagne présidentielle en 2012. C’est du moins la conviction de l’institut Montaigne, qui a confié au politologue Gilles Kepel le pilotage d’une vaste enquête dans les communes emblématiques de Clichy-sous-Bois et de Montfermeil. Les explications de Sarah Zouheir, spécialiste des politiques urbaines, qui a participé à cette recherche.
Quel était l’objectif de cette vaste enquête ?L’institut Montaigne a pensé que, dans la perspective de la présidentielle de 2012, il fallait éviter toute instrumentalisation de la question des banlieues. Pour cela, il nous a proposé d’étudier en profondeur un territoire, celui des communes de Clichy-sous-Bois et de Montfermeil, en Seine-Saint-Denis. Le but était de complexifier la question de la banlieue et de montrer qu’être banlieusard ne signifie rien en soi. La valeur ajoutée de cette enquête est d’avoir donné la parole à 100 personnes sur toute une série de sujets tels que l’éducation, l’emploi, la sécurité, la politique, la religion… (1)Pourquoi le choix de ces communes ?C’est là que les émeutes ont…
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