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L’APRE déconcentrée bute sur un cadre légal trop restrictif, selon une étude de l’ANSA

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Un dispositif jugé utile, mais paradoxalement peu consommé. C’est ce qu’il ressort d’un premier bilan de l’aide personnalisée de retour à l’emploi (APRE) déconcentrée (1), réalisé par l’Agence nouvelle des solidarités actives (ANSA) (2). Créée par la loi du 1er décembre 2008 réformant les politiques d’insertion, l’APRE vise à couvrir les coûts auxquels sont exposés les bénéficiaires du RSA lorsqu’ils reprennent un emploi. Ses crédits, issus du Fonds national des solidarités actives, sont répartis en une part versée à Pôle emploi et en une autre décentralisée dans les départements, mise en œuvre selon des modalités locales que l’ANSA s’est attachée à analyser.Pour les professionnels, il ne fait aucun doute que cette « APRE déconcentrée » « répond à des besoins non couverts jusqu’ici et apporte une solution à de nombreuses situations, en particulier en ce qui concerne la mobilité ». Mais, comme l’a souligné le Sénat dans un rapport d’information d’octobre 2010, ses crédits (150 millions d’euros en 2010) sont loin d’être utilisés en totalité, avec de fortes disparités d’un département à l’autre. Sur cinq départements observés par l’ANSA en 2010, entre 2 % et 12 % des bénéficiaires du…
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