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L’IGAS formule ses propositions pour renforcer les centres de planification familiale

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Créés en 1967 par la loi « Neuwirth » légalisant la pilule, les établissements d’information, de consultation et de conseil familial (EICCF) et les centres de planification ou d’éducation familiale (CPEF) (1) jouent un rôle « irremplaçable » d’information, de conseil et de prévention, assure l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) dans un rapport dressant le bilan de l’activité de ces centres (2). Ce travail avait été commandé par le secrétariat d’Etat chargée de la famille et de la solidarité en 2010, après la publication d’un précédent rapport qui avait pointé de trop nombreux échecs contraceptifs et l’insuffisance de l’information relative à la prévention (3).Les auteurs soulignent l’intérêt de ces deux types de structures (EICCF et CPEF) qui apportent « une offre spécialisée » aux côtés des dispositifs de droit commun (médecins libéraux, hôpitaux, établissements scolaire…) et dont ils constituent « un élément indispensable ». A la charnière du social, de l’éducatif et du sanitaire, ils proposent une large palette de prestations (conseil et écoute sur les questions de sexualité et d’orientation sexuelle, accompagnement des personnes victimes de violence, accompagnement…
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