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Plaidoyer pour la reconnaissance du volontariat dans l’animation

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La mobilisation de la Plateforme des accueils collectifs de mineurs, après l’arrêt de la Cour de justice européenne du 14 octobre 2010 qui a jugé le contrat d’engagement éducatif illégal car il ne prévoit pas de repos quotidien ou de périodes de repos compensatoire adaptées (voir ce numéro, page 18), commence à payer. Au 23 août dernier, plus de 140 parlementaires avaient posé une question écrite au gouvernement sur ses intentions sur la question. Les conséquences de cet arrêt « risquent d’être dramatiques », avait alerté la plateforme – qui comprend la Jeunesse au plein air, les CEMEA (centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active), l’APAJH (Association pour adultes et jeunes handicapés), l’APF (Association des paralysés de France), la Fédération générale des associations départementales des PEP. La remise en cause des principes du contrat d’engagement éducatif, qui, depuis 2006, donne un cadre à l’animation volontaire occasionnelle, pourrait augmenter le coût des séjours, entraîner la fermeture de structures et restreindre encore davantage l’accès aux vacances, notamment pour les personnes handicapées. Elle risque de mettre à mal la continuité éducative en ne permettant…
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