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La neuvième édition de la Coupe du monde de football des sans-abri s’achève à Paris dimanche 28 août. Préparé tout au long de l’année, cet événement permet à des personnes en grande précarité de redonner un sens à leur vie. Une illustration des atouts du sport comme outil d’insertion et d’accompagnement social.
« A partir de maintenant, il va falloir venir tous les dimanches, parce qu’on a cinq filles qui viennent un week-end et puis, le dimanche suivant, c’est cinq autres. Ce que je dis, les filles, c’est pour vous, parce qu’il faut jouer, apprendre les règles en pratiquant et avoir la condition physique. » Autour de la table, une petite dizaine de jeunes femmes sont réunies dans les modestes locaux parisiens du comité local d’organisation de la Coupe du monde de football des sans-abri. Gentiment mais fermement, Samir Amira, leur entraîneur et ancien joueur sélectionné en 2010, profite d’une réunion avec les douze apprenties footballeuses pour remettre les pendules à l’heure. « Vous savez, le Mexi­que, les Etats-Unis, le Brésil, elles courent comme des garçons, insiste-t-il. Il y aura du public qui viendra vous soutenir, qui dira “Allez la…
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