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Le torchon brûle entre l’Etat et les professionnels

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La mobilisation des professionnels de l’urgence sociale et des militants du droit au logement s’est accrue durant l’été. En cause : la réduction des crédits d’urgence au nom de la logique du « logement d’abord », malgré les besoins non satisfaits de places d’hébergement.
Le logement d’abord ? D’inspiration nord-américaine, l’idée de privilégier l’orientation vers l’habitation pérenne plutôt que vers une place d’hébergement est séduisante. Promue par le secrétaire d’Etat au logement pour mener à son terme la « refondation » des politiques françaises contre le sans-abrisme, elle est aussi plébiscitée par les associations. Reste que sa mise en musique se heurte pour l’heure à la difficile équation entre ce concept, encore théorique, et la réalité du terrain. Un sujet majeur pour la réussite de la réforme, qui divise pourtant l’Etat et les acteurs du secteur sur la stratégie à privilégier.En juillet dernier, la réduction de 25 % du budget du SAMU social de Paris dévolu aux nuitées d’hôtel a entraîné l’annonce de la démission de son président, Xavier Emmanuelli (1). Puis, la mobilisation des professionnels et des militants pour le droit au logement…
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