Recevoir la newsletter

Le Collectif des associations unies réclame l’accès aux droits des gens du voyage

Article réservé aux abonnés

« Dix ans après la loi du 5 juillet 2000, les gens du voyage restent considérés comme illégitimes sur la majorité de nos territoires », s’inquiète le Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement, qui réunit plus de 30 organisations, dont la Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les Tsiganes et les gens du voyage (Fnasat). Dernière illustration de ces difficultés : la remise en cause de trois aires d’accueil initialement prévues à Paris. La commission départementale des paysages et des sites n’a donné son aval que pour l’un d’entre eux, dans le bois de Vincennes, mais des élus des villes voisines ont demandé un réexamen du dossier. Un autre projet soutenu par la Ville de Paris, dans le bois de Boulogne, a été soumis à l’arbitrage de la ministre de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.L’anniversaire de la loi « Besson » n’est, en tout état de cause, guère reluisant : moins de 50 % des places prévues (environ 40 000) par les schémas départementaux pour l’accueil des gens du voyage ont été réalisées. « Nulle part la possibilité conférée par la loi au préfet de se substituer aux communes défaillantes…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Sur le terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur