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Tensions accrues sur les crédits de l’urgence

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Les conseils généraux de Seine-Saint-Denis, de Paris et du Val-de-Marne, ainsi que le conseil régional d’Ile-de-France, ont, le 23 juin, par la voix de leur président (1), lancé un manifeste « pour une autre politique de l’hébergement et du logement des sans-abri dans la métropole » (2). En présence d’associations de solidarité, dont la Fondation Abbé-Pierre et la FNARS (Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale), les quatre élus de gauche ont dénoncé « la fermeture brutale » en 2011 de 5 000 places d’hébergement hôtelier en Ile-de-France, « alors qu’il manque près de 13 000 places d’hébergement » dans la région. La décision prise par l’Etat de réduire le budget du SAMU social de Paris dévolu à l’hébergement des familles à l’hôtel – ce qui reviendrait, selon la Ville de Paris, à financer 7 100 nuitées quotidiennes, contre 9 364 en 2010, soit une diminution de 24 % –, avait déjà suscité une levée de boucliers. Estimant que ces coupes drastiques violent le principe de l’accueil inconditionnel des sans-abri inscrit dans la loi du 5 mars 2007 sur le droit au logement opposable, le DAL a attaqué l’Etat devant le tribunal admi­nistratif de Paris, qui devait…
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