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Le défenseur des droits interpellé sur la répression policière vis-à-vis des migrants de Calais

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A peine a-t-il pris ses fonctions qu’une première mission délicate attend le nouveau défenseur des droits (1). Dans une lettre que lui a adressée l’association No Border – soutenue par une vingtaine d’ONG, dont le GISTI, le Comede, la LDH ou le MRAP (2) – Dominique Baudis est saisi d’une demande de « mise en œuvre de moyens d’investigation propres à vérifier et corroborer l’existence de violences de la part des forces de police à l’égard des migrants installés à Calais ». Violences constatées in situ par l’association et compilées dans un rapport intitulé « Calais : cette frontière tue » (3).Fruit d’un travail de deux ans, ce document pointe notamment une répression « systématique », qui « implique des acteurs de bas en haut de l’échelle, de la police de terrain jusqu’aux plus hautes autorités ». « Ces violences policières visent à disperser les migrants de façon à diminuer leur visibilité qui constitue un signe d’échec pour les pouvoirs publics », et à « les inciter à quitter la France », ajoute le rapport.Médecins du monde arrive aux mêmes conclusions et a également interpellé le défenseur des droits en lui faisant parvenir son propre rapport (4) relevant « des faits qui paraissent…
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