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La MRIE décrypte la situation des allocataires du RSA

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Sur les prétendues « dérives de l’assistanat », « une analyse sereine des chiffres et une écoute attentive des personnes concernées devraient ramener la raison là où on risque de perdre le sens de l’action publique », explique Bruno Lachnitt, di­recteur de la MRIE (Mission régionale Rhône-Alpes d’information sur l’exclusion). C’est chose faite dans le copieux dossier 2011 de l’organisation, rendu public le 16 juin (1), quelques jours après la « convention UMP sur la justice sociale », où a été débattue la proposition de soumettre les allocataires du RSA (revenu de solidarité active) à un volume d’heures de travail d’intérêt général.Dans un chapitre au titre évocateur – « Subsister » –, la MRIE rappelle que, selon la caisse nationale des allocations familiales (CNAF), « le revenu par unité de consommation médian des allocataires percevant le RSA activité au 31 décembre 2009 s’élève à 825 €, contre 699 € sans prestation RSA activité, soit une augmentation de 18 % ». Une moyenne toutefois bien en deçà du seuil de pauvreté (949 €). En Rhône-Alpes, précise le rapport, 86 % des allocataires du RSA étaient ainsi « en situation de bas revenus » à la même date. La MRIE a, par ailleurs, exploré…
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